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Anecdotique mais cependant réel et inquiétant. Votre alimentation est de plus en plus contrôlée et dirigée par les grandes multinationales, au dessus des lois, sans que les pouvoirs publics n’arrivent à véritablement réguler quoi que ce soit. Malgré des efforts remarquables de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail).
Plus de neuf cent des aliments contrôlés contiendraient des nanomatériaux, sans qu’aucune étude de risque à priori n’ait pu être réalisée.
L’ANSES demande fortement à pouvoir compléter son enquête, notant au passage dans son rapport l’opacité des industriels qui se réclament de la réglementation européenne sans permettre aucun contrôle.
Nous ne l’écrirons jamais assez. Dans un monde ou la pollution est la norme, ou les pesticides, engrais, vaccins, vitamines, nourritures animales transformées mal à propos sont produits et utilisés en masse, essayez le plus possible d’utiliser des aliments les plus bruts possibles.
Votre intestin, votre corps, votre cerveau vous diront merci. Un répit bienvenue, à court, moyen et long terme.
Mais la pression des industriels ne faiblira pas. A nous de croire à un monde nouveau en agissant autant que possible pour cela. Mais c’est un combat individuel, avant d’être collectif.
« Par ailleurs, les applications et « arrangements » industriels concernant la réglementation constituent une autre piste de recherche en sciences sociales qui aurait évidemment son utilité. Invoquant l’application du règlement REACH et des règlements européens sectoriels, les entreprises affirment se conformer à la réglementation. Cependant, peu d’informations sont disponibles sur cette mise en conformité, qu’il s’agisse de l’abandon imposé ou volontaire de substances ou encore de l’interprétation des termes de la réglementation définissant ce qui est nano ou non, comme l’a montré l’audition de l’Ania par le GT. Ainsi, il existe un champ de recherches en SHS encore sous-exploré, et suspendu à l’ouverture des entreprises à des recherches de ce type. »
Le rapport est long. Le premier lien est un résumé.