Douleur.
Cette douleur qui es là,
Sournoise et lancinante,
Quel joie quand tu partiras,
Mais tu es là horripilante.
Tu arrives doucement,
Par moment,
Puis tu t’installe petit à petit,
Parfois même jusqu’au bout de la nuit.
Tu t’arrêtes aussi,
Oh pas bien longtemps,
Mais tu reprends à d’autre endroit aussi,
Tout aussi facilement.
Des jours, elles sont supportables,
D’autres à hurler,
Parfois à aller s’allonger,
Et même parfois indéfinissable.
Tenir, coûte que coûte,
Se sentir aussi fort qu’une poutre,
Garder le sourire,
Mais surtout ne pas se laisser mourir.
Tu es dure, si dure,
Tu fais mal si mal,
Mais mon espoir est pur,
Crois-le, je gagnerais au final.
Juin 19 Isabelle Gonet