Une histoire commencée en 2010, loin d’être terminée.
La recherche en France existe, et partout dans le monde. Même si elle est mal en point du fait des politiques et des rigueurs budgétaires. On ne pourra jamais empêcher les passionnés, les scientifiques, les découvreurs, et les « financeurs » de croire aux nouvelles découvertes. On n’a d’ailleurs jamais arrêté depuis l’invention de la roue. C’est bénéfique, même si c’est long. La recherche impose contrôle, vérification, contrôle et ainsi de suite jusqu’à une quasi certitude. Qui peut toujours être remise en question du fait des nouvelles données. L’aspirine en est la preuve, ce cachet qui a soulagé tant de personnes de par le monde et qui aujourd’hui est sur la sellette.
Une molécule porteuse d’espoir pour tous les douloureux.
Un médicament plus efficace que la morphine ou ses dérivés, sans accoutumance et moins d’effets secondaires.
Nous parlons ici d’un dérivé de l’opiorphine.
L’institut Pasteur fut en première ligne sur la question.
Aujourd’hui l’essai de phase deux, après un essai de phase un qui a confirmé l’absence d’effets secondaires particuliers devra préciser les doses intéressantes pour la suppression ou réduction de la douleur.
L’histoire n’est pas terminée, il faudra encore du temps, mais l’approche utilisée est prometteuse.
Et de l’espoir il nous en faut. En voici un possible.
Quelques liens en rapport :
- 2010 : opiophine : https://www.pourlascience.fr/sd/medecine/le-double-effet-de-lopiorphine-10663.php
https://www.futura-sciences.com/sante/videos/opiorphine-nouvel-antidouleur-remplacer-morphine-3651/
https://www.elsevier.com/fr-fr/connect/aru/str-324-bientot-des-essais-chez-lhomme